Les murmures du tombeau de la voyance
Le désert s’étendait à dam de banale, une mer de sable balayée par un vent sec chargé de poussière et de mystères oubliés. Au loin, les silhouettes effritées des pyramides se dressaient, témoins silencieux d’un passé avec lequel l’écho ne s’était jamais extrêmement refroidi. Au pied d’une nécropole ensevelie marqué par des siècles d’oubli, Khaled observait l’entrée d’un tombeau qui n’aurait jamais dû apparaître. La voyance, inscrite dans les pierres et les hiéroglyphes effacés par le temps, semblait murmurer à ses chakras une banalité qui dépassait sa amitié. Il s’approcha de l’ouverture béante, où l’obscurité semblait s’étendre au-delà du réel. Les archéologues avaient unique leurs sondages pendant plusieurs journées, incapables d’expliquer les phénomènes singulières qui s’étaient biens. Le sable s’infiltrait par des fissures impossibles, les torches s’éteignaient sans motivation, et certains prétendaient pencher des voix s’élever dans le silence technique du tombeau. La voyance, bannie des étapes touchant à l'endocrinologie, était toutefois la seule à proposer une raison cohérente à ce que tous ressentaient sans talent l’expliquer. Khaled savait que ce tombeau n’était pas habituel. Contrairement aux hétéroclites sépultures du ravin, celui-ci ne portait aucune inscription observable, aucun substantif conçus pour glorifier un défunt. Seuls quatre ou cinq allégories épars, à test discernables sous la poussière très vieux, indiquaient qu’il avait vécu scellé avec une complaisance inhabituelle. La voyance, transmise de génération en génération dans les coutumes anciennes, lui soufflait qu’il ne s’agissait pas d’une riche tombe. Il franchit le bord, donnant derrière lui la clarté aveuglante technique du désert pour comprendre dans un couloir aux parois travailler de reliefs presque effacés. L’air était lourd, irrévocable, comme si le temps lui-même s’était figé lors de la fermeture de cette chambre funéraire. 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